La question éthique va forcément se poser. Il y a beaucoup de fantasmes autour du mot « ADN ». On l'a vu avec les récents débats sur l'ARN messager et l'enzyme de rétrotranscriptase.
Sur un plan pratique, on constate que les données occupent beaucoup de place dans les bibliothèques. Elles consomment donc du foncier, à une époque où l'on parle de plus en plus des politiques de zéro artificialisation nette. Mais ce ne sont pas que des données froides car elles ont vocation à être consultées. Pourrait-on envisager que le stockage de données sur ADN concerne d'abord les archives ?