‑ Monsieur le président, vous aurez remarqué que, selon une tradition française, le nucléaire est un sujet très sensible pour les parlementaires. Votre étude a déjà donné lieu à des débats sur le sujet, même si elle soulève beaucoup d'autres questions. Nous aurons l'occasion d'y venir.
Je vous fais part d'une nouvelle question de notre collègue Loïc Prud'homme, qui se situe dans la continuité de ce que vient de dire Émilie Cariou : « Comment estimez-vous les coûts de l'EPR2 et du SMR qui sont encore à l'état de projet ? »
Je signale aussi qu'Émilie Cariou est rapporteure, avec le sénateur Bruno Sido, d'une étude sur l'évaluation du fameux Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs. Cette étude s'inscrit dans les missions historiques de l'OPECST sur le contrôle et l'évaluation des choix technologiques liés au nucléaire.
Je vais passer la parole au sénateur Stéphane Piednoir, lui aussi impliqué dans une étude sur le nucléaire, adoptée récemment par l'Office. Il s'agissait d'une étude relative à l'énergie nucléaire du futur et aux conséquences de l'arrêt du projet de réacteur ASTRID, qu'il a menée avec le député Thomas Gassilloud.