Je rappelle que ce projet élaboré après consultation d'un programmiste impliquait une équipe constituée d'architecte et d'un bureau d'études, des gens dont le métier est d'établir un état des lieux, un audit des besoins, en fonction de la situation de l'existant, et de déterminer ce qu'il est possible de faire.
Le montant évoqué n'est plus d'actualité. La relocalisation des locaux techniques n'était pas prévue sous l'emmarchement, mais dans la perspective d'un creusement du jardin de la buvette, ce qui surenchérissait le projet. L'espace situé sous l'emmarchement avait, à l'époque, la double vocation d'améliorer les conditions d'accueil du public et la création de salles de réunion des commissions.
Le reste de la réflexion conduite par le programmiste en lien avec les services de l'Assemblée nationale, dont celui de la communication, demeure d'actualité, car tous les défauts constatés aujourd'hui étaient déjà identifiés en 2011.