Nous nous grandirions, à la fin de cette réflexion, à poser le principe que s'il n'y a pas le tiers des députés physiquement présents dans l'hémicycle, nous ne puissions pas délibérer. Pour nos concitoyens qui, en se levant à sept heures, entendent à la radio qu'une loi a été votée dans la nuit par trente-huit voix contre douze, c'est indéfendable. Et de plus, s'agissant de nos collègues qui prennent en otage l'hémicycle pour défendre des opinions qui ne le méritent pas, chacun se responsabiliserait si nous exigions que le tiers de députés soit présent. J'en suis là de mes réflexions, à titre personnel, je n'engage évidemment pas le Président de notre assemblée.