Je ne crois pas non plus aux moyens coercitifs ni à l'imposition de quotas. En revanche, nous ne pouvons pas nous plaindre qu'une communauté n'est pas représentée dans un métier si elle-même ne s'intéresse pas à la filière. Je pense nécessaire d'expliquer aux jeunes qu'ils ont accès à une palette très large de métiers possibles, qui ne sont pas la reproduction de ceux occupés par leurs parents ou leurs grands-parents.