La plateforme pour les stages de troisième n'est pas accessible à tous. Je précise que nous travaillons sur des dispositifs visant à prendre en charge le transport et le repas du stagiaire.
Je pense qu'il existe plusieurs explications à nos difficultés à pourvoir ces offres. D'abord, les jeunes n'aiment pas vraiment sortir de leur quartier, ils sont inquiets. Leurs parents sont protecteurs. En outre, je pense que nous avons mal communiqué auprès des chefs d'établissement. La dynamique ne s'est pas créée entre les acteurs. De plus, des collectivités locales avaient déjà lancé ce type de dispositif.
Nous apportons des correctifs, mais cette année sera complexe en raison de la situation sanitaire. La difficulté à trouver des stages dans les entreprises sera générale. Notre travail consiste désormais à renforcer le sourcing des entreprises et l'identification des enfants. Nous avons commencé à coordonner le biotope, à corriger les détails pour augmenter le nombre de stages pourvus.