Les parcours d'excellence des grandes écoles sont ouverts sur concours. Nous ne pouvons donc pas nier l'objectivité sur laquelle ils se basent pour opérer une sélection. L'épreuve de culture générale amène toutefois des candidats potentiels à se fixer une limite – de même que d'autres épreuves qui pourraient la remplacer (droit, philosophie, capacités rédactionnelles). Elle ne se prépare pas dans une salle de classe, mais dans des lectures, des lieux de culture. Une approche globale pourrait-elle être envisagée, sur un public cible, pour amener une tranche d'âge à décloisonner ses apprentissages, à s'enrichir seule, hors des lieux conventionnels ?