Il convient également de trouver des moyens d'encourager les entreprises à mesurer les écarts de traitement par différents outils ( testings sollicités, diagnostics ou autodiagnostics).
Proposer des quotas, comme il en existe sur la base du genre, me paraît aventureux. Cela suppose de définir des catégories d'origine ethnique : parle-t-on de la nationalité ? Parle‑t‑on du niveau de descendance – et si oui, de quel niveau parle-t-on ? Il me semble que s'engager dans ce genre de débats ne contribuerait pas à faire reculer le racisme.