Je vous remercie, monsieur le ministre. Dans le prolongement de votre intervention, pourriez-vous dire quelques mots des programmes d'histoire dans l'éducation nationale ?
Vous avez dit qu'il fallait traiter à part la question de l'Algérie. Comment expliquer que la génération des personnes nées en Algérie se soit bien intégrée en France alors que la génération suivante, la jeunesse née sur notre sol, semble beaucoup moins à l'aise avec son histoire et ses racines ?