Je vous remercie pour votre intervention, monsieur le ministre. Votre approche et votre regard sont toujours précieux.
L'inégalité d'accès au savoir et à l'enseignement est peut-être la première cause du rejet des autres : on rejette ceux que l'on ne connaît pas, ceux qui ne nous ressemblent pas. Lorsque vous étiez ministre de l'éducation nationale, vous avez réintroduit l'éducation civique. Quelques années plus tard, nous devons admettre certains échecs. Que préconiseriez-vous, à ce jour, pour assurer la cohésion républicaine et pour que chacun s'y retrouve ?