Pourriez-vous, Monsieur le directeur général, nous fournir les chiffres à l'appui de vos propos ?
Nos décisions en matière d'énergie nucléaire – fermetures, délais de décision pour construction d'un nouveau réacteur – et notre engagement louable en faveur d'énergies intermittentes ne risquent-ils pas d'affaiblir la résilience de notre production d'électricité ? Nous pouvons faire face à des effets cumulatifs comme ce fut le cas à l'hiver 2020-2021. Mais si l'hiver avait été plus rigoureux, nous nous serions peut-être approchés davantage du risque de rupture.
S'agissant des risques de rupture, les conséquences économiques d'un délestage tournant ou même d'une rupture électrique pendant deux heures ont-elles été évaluées ?