Il s'agit d'une question complexe, car si des alternatives peuvent exister, il est parfois compliqué de les développer.
Nous sommes très vigilants, dans la rédaction des textes règlementaires, sur le fait que certaines interdictions portant sur la production puissent être levées face à un danger grave. Cela est le cas pour l'utilisation de produits phytopharmaceutiques afin de détruire un pathogène : nous veillons à ce que les moyens d'intervention en cas d'urgence soient disponibles pour agir sur un pathogène, car cela est indispensable en cas d'urgence, même si cela ne correspond pas à l'attente sociétale.
Nous nous efforçons par ailleurs de déployer des politiques incitatives pour accélérer la recherche et développer des alternatives – biocontrôle, techniques agroécologiques.