Nous vivons dans un monde de flux. Contrairement à nos parents, notre autonomie est faible pour faire face à une éventuelle rupture d'approvisionnement alimentaire. Est-ce qu'il vous semble pertinent, dans le cadre d'une stratégie de résilience nationale, de sensibiliser les citoyens au fait d'avoir un minimum de réserves en nourriture ou en eau ? Ou cela vous semble-t-il inutile, compte tenu des mesures prises au sein de la DGAL ?