Dès l'apparition du premier cas de covid-19 en France, nous avons mis en place une cellule de veille opérationnelle, fonctionnant sept jours sur sept, chargée d'alimenter nos associations départementales sur les conduites à tenir et sur les adaptations à mettre en place. Très vite, cette cellule de crise est devenue nationale, puis inter-associative. La décentralisation des actions a été nécessaire et essentielle ; elle a permis de compléter nos actions en nouant des partenariats locaux. Nous avons ainsi vu naître de petites associations de quartier ou rurales, qui ont pu compléter l'action des grands réseaux.