En tant qu'armateurs, en vertu effectivement du principe de précaution, même si la convention de Montego Bay n'attribue pas une zone à un pays, nous n'interviendrons pas dans une zone si nous savons que ledit pays la revendique et est capable d'envoyer sa marine pour arraisonner notre navire, le conduire vers un port et le bloquer durant des mois. C'est la sécurité du navire qui est en jeu.