Nous avons parlé du risque nucléaire en temps de paix. Mais dans les discussions stratégiques du moment, il est souvent fait état du risque de conflits de haute intensité, et de scénarios pour lesquels la dissuasion nucléaire n'apporterait pas forcément de réponse. Avez-vous réalisé des travaux sur la sûreté nucléaire en cas de conflit interétatique, où nos armées ne pourraient potentiellement plus garantir la supériorité aérienne sur notre territoire ?