Lors de la crise sanitaire, des interlocuteurs multiples, le directeur général de la santé, le ministre de la santé, le Premier ministre, ont adopté une communication aussi large que possible. Dans nos territoires, les maires considèrent qu'ils auraient dû recevoir certaines informations avant leur diffusion auprès du grand public. Comment une communication segmentée de la crise sanitaire aurait-elle pu s'établir ? Aurait-il fallu organiser des séances de communication impliquant, par exemple, les maires ou les médecins ? La communication a-t-elle été trop large, et a-t-elle porté préjudice à la puissance publique ?