Je crois que l'on peut résumer la question finale de cette façon : comment faire en sorte que le futur soit la promesse d'un monde meilleur ? Est-ce en assumant les risques de façon à être collectivement mieux préparé ou est-ce en ne les évoquant que modérément et en focalisant l'effort de réparation sur les personnes qui seraient directement impactées par une catastrophe ? La vérité se situe certainement à mi-chemin entre le préventif et le curatif.