Par exemple, lorsque s'est produit l'ouragan Irma, le réseau électrique n'était plus en état de fonctionnement et les paiements ont alors dû être effectués au moyen de billets de banque.
Face aux risques cybernétiques, on attend des acteurs financiers qu'ils montrent leur capacité de redondance et qu'ils veillent à localiser leurs données à différents endroits. Dans cet esprit, le test effectué lors de la présidence française du G7 consistait à simuler une attaque contre des données et à évaluer la capacité des acteurs financiers à les retrouver dans la journée. La réglementation impose en effet à ces acteurs de mettre en place des dispositions en ce sens.