Outre vos suggestions en termes de garde d'enfants et de mobilité nationale, quelle organisation conjointe entre les opérateurs funéraires et l'État permettrait de faire face à une augmentation plus brusque encore que celle que vous avez connue ? Auriez-vous des facteurs techniques limitants, tels que le nombre de cercueils ? Comment le secteur funéraire pourrait-il supporter une forte tension durant un temps donné ?