Les familles ont éprouvé énormément de frustration à ne pouvoir dire au revoir à la personne défunte. Pour le cérémonial, elles ont fait preuve de plus de résilience. Il a été possible d'organiser des cérémonies cultuelles ou civiles différées.
Je trouve satisfaisant que nous ayons été invités au débat. Le secteur du funéraire est prêt à s'intégrer à la chaîne qui devra être mise en place en cas de crise. Le maillon que nous représentons ne doit pas être oublié, même si nous nous situons en bout de chaîne. Au niveau local, les médecins s'étonnent parfois que nous ne soyons pas intégrés aux débats sur les scénarios de crise.