Nos interventions sont effectivement plus faciles à comprendre si on sépare les modes d'action « à chaud » et « à froid ».
Lorsque nous travaillons « à chaud », nous intervenons généralement en appui de l'État, comme lors de la tempête Alex. Nous pouvons également appuyer le conseil départemental, notamment sur les aspects routiers. Nous travaillons plus rarement en appui des collectivités « à chaud », car nos interventions auprès de celles-ci demandent souvent un délai plus important, ce qui sera peut-être modifié à la suite de l'adoption du projet de loi « 3 DS ».
« À froid », nous proposons aux collectivités d'avoir une réflexion globale sur leur stratégie d'aménagement.