L'État dispose en propre de moins de moyens que dans l'immédiate après-guerre et le CEREMA représente la part résiduelle de ces moyens techniques en matière d'ingénierie de l'équipement. Vous vous appuyez aujourd'hui sur des leviers tels que les collectivités et d'autres cabinets d'études pour apporter du conseil de manière directe ou indirecte sur l'ensemble du territoire. Est-ce une vision exacte ?