Il arrive en effet que les employés du CEREMA créent leur entreprise ou partent travailler pour les collectivités, ce que nous facilitons, car cela participe à la diffusion du savoir. Notre turn over atteint environ 10 %, ce qui est élevé dans la fonction publique. Les employés restent au CEREMA durant cinq ou six ans, puis partent éprouver ailleurs ce qu'ils ont appris. Il arrive qu'ils reviennent. Ce sont des flux essentiels. En revanche, il est plus rare que les anciens employés reviennent lorsqu'ils sont partis vers le secteur privé.
L'idée d'alimenter la communauté nationale en compétences est vitale.