Nous recevons le général Benoît Brulon, commandant du service national volontaire.
Une génération nous sépare du service national obligatoire. Nous ne mesurons sans doute pas encore toute la portée de sa suppression, ni la profondeur des changements qu'elle induit. La réflexion que nous menons sur la résilience nationale devrait nous permettre d'apporter de nouveaux éléments de compréhension à cette situation. Nous attendons de cette audition qu'elle nous éclaire sur le service militaire volontaire, ses effectifs, les publics concernés, et les perspectives d'évolution notamment en lien avec la montée en puissance du service national universel (SNU).