Concernant le processus d'intégration, j'ai commencé mon volontariat à la mi-mai en tant que brancardier. Le nombre de brancardiers était insuffisant pour conduire les patients potentiellement atteints du covid-19 en imagerie afin de réaliser un scanner des poumons. Cette radio venait compléter le diagnostic établi à la suite d'un test PCR, afin de confirmer le cas de covid-19. En raison de ce manque de brancardiers, les patients patientaient longtemps dans les services d'urgence et je me suis, à ce moment-là, engagé via l'association Résilience citoyenne. Une semaine après ma prise de service, mon intégration était telle que je me sentais déjà comme un brancardier titulaire.