C'est un ami, ancien militaire, qui m'a transmis l'annonce de M. de Gliame sur un groupe WhatsApp. J'ai ensuite eu trois entretiens téléphoniques avec des psychologues qui devaient s'assurer que j'étais suffisamment solide pour être volontaire dans une chambre mortuaire. Ils ont constaté que j'étais apte à effectuer ce type de tâche et j'ai été mise en sécurité psychique. L'un des praticiens m'a conseillé de le contacter au moindre problème.