L'examen en première lecture à l'Assemblée nationale avait donné lieu à des échanges douloureux et provoqué l'incompréhension des familles, que nous avons pu rencontrer par la suite dans nos circonscriptions. Je suis donc satisfaite que les deux chambres aient transformé l'erreur de jugement initiale en permettant que ce texte aille plus loin, puisqu'il inclut désormais le soutien psychologique et le maintien des prestations sociales. Le travail parlementaire répond ainsi aux besoins concrets émanant de situations fort douloureuses.