La genèse de la décision de 2015 vient d'être rappelée ; la proposition de Gilles Lurton me paraît relever d'un parfait bon sens et de la justice la plus élémentaire. Je la soutiendrai donc sans réserve, sachant que nous avons d'autres sujets de désaccord en matière de politique familiale. Par exemple, si nous devions rechercher des financements, je proposerais le plafonnement du quotient conjugal – je ne suis pas certain que nous nous retrouverions sur ce point.