Sans surprise, je soutiendrai cet amendement. Il est utile d'inscrire dans la loi la plénitude de ce droit et de ne pas le soumettre à des aléas budgétaires – sinon, l'on met ces problèmes de trésorerie à la charge des familles. Le moment suggéré par Gilles Lurton pour verser la prime est le bon, celui où l'on commence à se préparer activement à l'accueil de l'enfant et où l'on engage des dépenses un peu plus importantes. Il s'agit d'établir un droit plein et entier, et non d'équilibrer un coût – d'ailleurs, qu'est-ce que cela signifie ?