En quoi les porteurs du VIH sont-ils différents des autres malades chroniques ? Pourquoi ce droit à l'oubli n'est-il pas le même que pour une autre maladie chronique ? Je pense que ce serait une solution.
D'autre part, j'ai entendu le manque de moyens pour financer des études, même si Mme Costagliola nous donne déjà des éléments. Qui l'a missionnée pour ce travail et dans quel but ? Est-ce l'État qui doit prendre en charge ces études et par quel biais ? Quels sont les moyens de mandater l'État sur des études épidémiologiques précises et de disposer d'un état des lieux de la façon dont les personnes concernées peuvent contracter un prêt ?
Comment pouvons-nous revoir ces grilles d'évaluation de façon à ce que, en cas de gros risque, il existe une sorte de garantie d'État permettant tout de même à ceux ayant le plus gros risque d'accéder à la propriété, le risque étant pris en partie en charge par des fonds de solidarité dotés de fonds publics ?