Je me permets de lire la question que Martine Wonner, pour des raisons techniques, ne peut poser. Sa question porte sur l'éthique : comment accompagner les usagers et les familles avec bienveillance et dans le respect du consentement ? La pression imposée par le rythme actuel ne permet pas vraiment de solliciter le consentement des personnes. Elle intervient en médico-social chaque semaine, cette question est donc issue d'une expérience de terrain.