Je ne comprends pas non plus la façon dont vous motivez votre avis, madame la rapporteure. D'abord, le médecin du travail est entouré d'une équipe pluridisciplinaire et les actions de sensibilisation ne reposent pas sur sa seule personne. Ensuite, ce n'est pas une question de formation, mais de déontologie. Enfin, il est étonnant que vous établissiez une hiérarchie des priorités en considérant que les actions de sensibilisation aux violences conjugales et sexuelles sont moins importantes que d'autres.