Je comprends parfaitement la préoccupation de Mme Chapelier, qui fait d'ailleurs l'objet de nombreuses discussions, à l'Assemblée nationale comme dans le cadre du dialogue social. La mesure proposée, à savoir la surveillance de l'état de santé physique et psychique des salariés en télétravail, mériterait néanmoins une expertise approfondie. Les partenaires sociaux ne se sont pas exprimés sur la question dans le cadre de la négociation de l'accord.
Avis défavorable.