Vous partez du constat que non seulement les mineurs sont concernés mais aussi les jeunes majeurs, c'est‑à‑dire les étudiants en école supérieure qui se retrouvent de manière festive et utilisent hélas ce produit toxique. Mais comment distinguer les jeunes majeurs de l'ensemble des majeurs ?
Soit on considère que le protoxyde d'azote est dangereux donc on l'interdit pour tous, soit il ne l'est pas. Vous avez pourtant raison : les jeunes majeurs doivent être pris en considération. Peut‑être faut‑il des campagnes de sensibilisation plus fortes, voire rendre l'accès plus difficile pour ces catégories de jeunes.