Nous avons tous été contactés par des étudiants et des parents extrêmement inquiets. Je partage également le constat sur les territoires ruraux mais il faut savoir que nous rencontrons également des difficultés à trouver des médecins dans les grandes villes, notamment au niveau hospitalier.
Ma question portera sur l'internat. Vous avez rappelé que le nombre de places a été augmenté pour atteindre les 10 000 dès la première année. La difficulté réside maintenant au niveau de l'internat. Je suis députée de la ville de Nice et nous constatons dans ce domaine un écart significatif avec la ville de Marseille. L'autonomie des universités y est certainement pour beaucoup mais nous avons l'impression que certains territoires sont lésés, notamment au niveau de l'internat puisque le nombre de places n'a malheureusement pas été augmenté dans certaines formations. Quelles réponses pourriez-vous nous apporter ?