Nous avons eu l'occasion d'en discuter, de mémoire, lors de l'examen de la proposition de loi, déposée par Monique Limon, visant à réformer l'adoption.
Depuis 2016, la notion de délaissement parental a remplacé celle de l'abandon. On s'est demandé si, en pratique, cela permettait à davantage d'enfants d'être adoptables, pour leur donner une famille. Je n'ai plus le chiffre exact en tête, mais le nombre de cas de délaissement parental est en augmentation. Il semblerait donc que le changement introduit par la loi de 2016 soit en train de produire des effets.