Je ne suis pas d'accord avec vous, ce que nous sommes en train de faire est utile. Des moyens sont mis par ailleurs, notamment sur la question du handicap.
J'observe, du reste, que la question de savoir pourquoi 20 % à 25 % des enfants de l'ASE sont en situation de handicap n'est jamais posée. Pourquoi y en a‑t‑il autant et comment faire en sorte qu'il y en ait moins ? La réponse passe par la prévention, par le repérage précoce et par l'accompagnement à la parentalité à la fois des parents ayant des enfants en situation de handicap et des parents handicapés ayant des enfants. Il faut davantage agir et investir sur l'ensemble de ces sujets : nous le faisons notamment au travers du projet des 1 000 premiers jours.