Pour conforter l'analyse de Mme Goulet, on peut s'adosser à une réalité factuelle. Il a été démontré qu'au moment du confinement, les enfants qui n'ont pas eu à entrer directement en relation avec leur famille, par exemple le week-end, se sont apaisés. C'est une réalité qui a été constatée au niveau national. Il ne s'agit évidemment pas de généraliser mais, dans certains cas, lorsque l'enfant dit clairement qu'il ne veut pas revoir l'un de ses parents, il faut l'entendre.