Il y a eu une rencontre avec le ministre de l'économie, Monsieur Macron à l'époque, en octobre 2015, au cours de laquelle tous les syndicats ont fait part de leur inquiétude. Nos experts avaient compris, dès le mois de mai 2015, qu'un plan social aurait lieu très rapidement concernant 10 000 salariés à travers le monde et 6 600 en Europe. Il était même question que cela touche la France mais, pour des raisons probablement politiques, le secteur des énergies renouvelables, notamment le business de l'hydro, n'a pas été touché lors de la première vague de licenciements, le 4 janvier 2016, soit deux mois à peine après la cession.