J'ajouterai, à propos des concessions EDF et de la CNR, que, datant de quelques dizaines d'années, elles sont technologiquement obsolètes et leur rendement est à l'avenant. Il s'agit donc d'entretenir l'outil mais aussi de le moderniser.
L'un des contrats EDF de modernisation d'une turbine-pompe à Le Cheylas, où l'on a proposé une technologie à vitesse variable avec le soutien de l'Union européenne, a été rompu pour diverses raisons, probablement internes, de disponibilité, sans doute parce qu'il fallait bien terminer l'EPR et que c'est un gouffre financier. Voilà ce que nous disons, Madame Battistel : on déshabille Pierre pour habiller Paul. ! Or il y a bien un avenir et même la nécessité de le garantir.