En 2021, toutes les professions paramédicales font l'objet d'interrogations, s'agissant de leur statut, de leurs fonctions, de leur place, de leur formation. Par cette proposition de loi, vous apportez des réponses à celle des sages‑femmes, ces grandes oubliées, pour reprendre les termes de Marine Brenier.
Vous aviez proposé initialement une autre proposition de loi, plus ambitieuse – je l'avais cosignée. Quelles considérations vous ont conduite à la réduire à un texte, certes utile, mais traitant seulement de la formation et de la nomenclature ?
Des places restent vacantes dans les écoles de sages‑femmes, ce qui prouve qu'en dépit de la beauté de ce métier, les vocations ne vont pas de soi. Quel regard portez-vous sur l'attractivité de la profession de sage‑femme ?