Vous avez raison de mettre en avant les sages‑femmes, qui exercent une belle profession, mais une profession en souffrance, qui n'a pas toujours eu la considération qu'elle mérite, y compris sous l'angle de la formation. Le nombre des médecins allant diminuant, je suis persuadé que nous aurons de plus en plus besoin de sages‑femmes dans nos territoires. À défaut de gynécologie médicale accessible aux femmes, pour leur suivi au quotidien, les sages‑femmes auront un rôle majeur à jouer.
Je tiens à souligner l'importance de votre proposition de loi au regard de la formation ainsi que la nécessité de revaloriser et d'étendre ce métier pour améliorer la prise en charge des femmes partout dans le territoire.