Un grand merci à Annie Chapelier, non seulement pour les sages‑femmes, mais aussi pour les femmes et les hommes, tous concernés par la naissance. Même si cette proposition de loi nécessitera des développements, il était courageux de s'attaquer à un sujet difficile, en négociation depuis des années, pour clarifier le statut médical des sages‑femmes. Nous pouvons tous nous en réjouir, d'autant plus qu'en matière de recherche en maïeutique et périnatalité, nous ne sommes pas les meilleurs d'Europe, tant s'en faut. Ce texte n'est donc pas seulement catégoriel, il nous concerne tous et va nous faire avancer.
Grâce aux sages‑femmes et à cette proposition de loi, qui devrait être adoptée à l'unanimité, nous pouvons nous réjouir de voir, comme souvent, l'Assemblée nationale servir l'intérêt général.