‑ Pierre Riso. Nous n'en avons pas le nombre précis mais nous ferons un petit sondage parmi nos adhérents. Plusieurs d'entre eux nous ont dit que leur CPOM aurait dû être signé depuis deux ou trois ans. La pandémie n'explique pas tout. Du reste, ce qui importe dans le CPOM, ce n'est pas tant la signature que les moyens qui y sont affectés. Et il n'y a pas d'explication : c'est le règne de l'irrationnel auquel est propice la faiblesse dans la gouvernance. Ce secteur est la proie d'une suradministration forcenée, qui empêche les parties prenantes de prendre des initiatives.