À l'heure actuelle, les personnels soignants disposent de 22 minutes au chevet d'un résident toutes les vingt‑quatre heures. Avec un ratio de 0,6 soignant par résident, on passerait à une heure trente, ce qui constitue le minimum vital pour mettre fin à la maltraitance. Avec une telle durée, on ne peut pas faire d'activité ni discuter, mais au moins les soignants ne seront‑ils plus amenés à maltraiter les résidents.