Les Chinois sont meilleurs parce qu'ils ont une partie de la « bibliothèque », ce que nous n'avons pas forcément. En France et en Europe, la reconnaissance faciale suscite un débat : faut-il l'autoriser ou l'interdire ? Nous sommes dans une espèce d'entre-deux où rien n'est autorisé et rien n'est interdit. Le fameux Livre blanc de l'Union ne l'a pas vraiment traité. Nous avons des questions qui se posent aujourd'hui, notamment en France. Vous avez parlé des valeurs et du « solutionnisme technologique ». La reconnaissance faciale est à la croisée de ces deux points. Qu'en pensez-vous ? L'Europe doit-elle interdire la reconnaissance faciale ?