Nous avons l'impression que d'autres pays membres adoptent davantage l'attitude que vous avez évoquée, en faisant passer en premier la liberté d'action du privé au détriment des intérêts européens stratégiques de santé, de données et économiques avec l'abus de position dominante des GAFAM. Nous avons l'impression que certains pays se demandent quelle conséquence aurait un raidissement de l'Europe. Nous avons le sentiment que nous jouons notre avenir et la crise de la covid a encore montré à quel point le sujet était sensible. J'ajoute également que je dois vous présenter des excuses, car notre collègue Philippe Latombe, notre rapporteur, est actuellement à l'hémicycle pour défendre des amendements.