Dans vos propos liminaires, vous avez tous évoqué l'éducation des acheteurs publics. Lorsque nous avons interrogé l'UGAP, la semaine dernière, ses représentants nous ont indiqué que leur activité de veille vis-à-vis des nouvelles solutions était très limitée. Avec des acheteurs qui ne sont pas parfaitement préparés, d'un côté, et une cellule de veille qui n'est pas à même de proposer des solutions très innovantes, de l'autre, on a tendance à adopter les mêmes solutions, le plus souvent intégrées et provenant des GAFA. Ce sont Microsoft 365 pour la gestion des mails, intégrant Azure, ou bien AWS pour BPI en ce qui concerne le prêt garanti par l'État (PGE). Comment inciter les acheteurs publics à prendre des risques, et dans quelles limites ? Comment procéder pour les éduquer ? Pourrait-on aller au-delà des observatoires ?