Cela veut-il dire que le frein provient aussi de nos concitoyens, qui voient les données de santé comme une donnée sacrée, qu'on ne peut pas utiliser ni vendre ? Doit-on évoluer vers un modèle semblable à la UK Bio Bank ou bien au modèle israélien ? La nature même de la donnée de santé ne constitue-t-elle pas un frein ?